POUR LES PARTICULIERS
Question-réponse
Vérifié le 08/04/2022 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) Le dépistage permet de savoir si on est infecté par un virus (VIH, hépatite...) ou atteint par une maladie (saturnisme, ostéoporose).
Le test de dépistage du virus de l'immunodéficience humaine (VIH) permet de déceler la présence du virus. Un <span class="miseenevidence">dépistage précoce</span> par rapport à la date de contamination permet de bénéficier rapidement d'un traitement efficace, ce qui améliore le pronostic à long terme. Le traitement est donc d'autant plus efficace qu'il est commencé tôt. Vous pouvez faire un test de dépistage du VIH à tout moment et notamment dans les situations suivantes :
À savoir si vous venez d'être exposé à un risque VIH, rendez-vous au service des urgences d'un hôpital le plus rapidement possible, de préférence dans les 4 premières heures, au plus tard dans les 48 heures. Un traitement post-exposition (TPE) peut empêcher une contamination. Le test de dépistage est systématique dans les cas suivants : La sérologie VIH actuellement réalisée en laboratoire de biologie médicale, grâce à une prise de sang, est le test Elisa de 4e génération détectant : Le test du dépistage par prise de sang peut être réalisé <span class="miseenevidence">à partir du 21e<Exposant/> voire du 15e jour</span> suivant la situation à risque. Il peut être positif à ce moment. Mais un test négatif est totalement fiable <span class="miseenevidence">6 semaines après</span> une prise de risque, s'il est réalisé en laboratoire. Ainsi, attendre 6 semaines pour se faire dépister, c'est prendre le risque de perdre le bénéfice d'un traitement précoce. Donc en cas de test négatif à 21 voire 15 jours, on ne peut pas dire qu'on n'est pas contaminé, il faut refaire le dépistage à la semaine 6. Le biologiste, si vous avez réalisé le dépistage sans prescription médicale, ou le médecin prescripteur vous orientera vers un spécialiste pour une prise en charge. Vous pouvez être rassuré si la dernière prise de risque d'exposition au virus date de 6 semaines ou plus. Ce test peut être réalisé à partir du <span class="miseenevidence">à partir du 21e<Exposant/> voire du 15e jour</span> suivant la situation à risque. Il peut être positif à ce moment. Mais un test négatif est totalement fiable <span class="miseenevidence">3 mois après</span> une prise de risque si le test est réalisé à l'aide d'un TROD. Ainsi, attendre 3 mois pour se faire dépister, c'est prendre le risque de perdre le bénéfice d'un traitement précoce. Donc, en cas de test négatif à 21 voir 15 jours, on ne peut pas dire qu'on n'est pas contaminé, il faut refaire le dépistage. Le Trod est revêtu du marquage CE et pratiqué sur le sang avec tous ses constituants, sérum, plasma au moyen d'un réactif détectant l'infection par les VIH 1 et 2. Ce procédé permet d'avoir un résultat en 30 minutes maximum. Vous pouvez vous rendre <span class="miseenevidence">gratuitement</span> dans l'un des établissements suivants : Un professionnel de santé peut vous aider à vous orienter vers une de ces structures. Les personnes qui sont les plus exposées au risque de transmission peuvent bénéficier d'un dépistage par Trod. Il s'agit notamment des personnes suivantes : Un test de confirmation (sérologie) doit être effectué en laboratoire par prise de sang pour confirmer le diagnostic. Vous pouvez être rassuré si la dernière prise de risque date de 3 mois ou plus. Sinon, il faut refaire un dépistage par TROD ou par un test en laboratoire. Si vous souhaitez vous dépister seul à domicile, vous pouvez vous rendre dans une pharmacie pour acheter un autotest VIH d'un montant entre <span class="valeur">10 €</span> et <span class="valeur">28 €</span>. Il n'est pas remboursé par l'Assurance maladie. Le test de dépistage peut être réalisé <span class="miseenevidence">à partir du 21e<Exposant/> voire du 15e jour</span> suivant la situation à risque. Il peut être positif à ce moment. Mais un test négatif est totalement fiable <span class="miseenevidence">3 mois après</span> une prise de risque. Ainsi, attendre 3 mois pour se faire dépister, c'est prendre le risque de perdre le bénéfice d'un traitement précoce. Un test peut donc être positif dès 21, voire 15 jours, mais un test négatif est fiable à 3 mois. Donc en cas de test négatif à 21 jours, on ne peut pas dire qu'on n'est pas contaminé, il faut refaire le dépistage. L'autotest doit être exécuté correctement. Vous devez lire attentivement la notice avant de commencer le test pour limiter les possibilités d'erreurs. Sida Info Service met en ligne des vidéos de présentation de ces autotests. Si le résultat est positif Un test de confirmation doit être effectué en laboratoire par prise de sang pour confirmer le diagnostic. Si le résultat est négatif Vous pouvez être rassuré si la dernière prise de risque date de 3 mois ou plus. Sinon, il faut refaire un dépistage par autotest, Trod ou par un test en laboratoire. Informations sur le virus du Sida, orientation, écoute. Respect de l'anonymat. Orientation téléphonique directe vers des spécialistes (juristes, personnel médical) à partir de certains horaires. Par téléphone <span class="miseenevidence">0800 840 800</span> Appel et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile 24h/24 - 7 jours/7 Depuis l'étranger : 00 33 1 41 83 42 77 (coût de l'appel à la charge de l'appelant) Par messagerie Accès au <a href="https://www.sida-info-service.org/poser-une-question-par-mail" target="_blank">formulaire de contact</a> Le dépistage organisé du cancer du sein concerne toutes les femmes entre 50 et 74 ans. Si vous êtes une femme entre 50 et 74 ans, vous recevrez tous les 2 ans un courrier d'invitation pour effectuer une mammographie de dépistage. Cette invitation est accompagnée d'un bon de prise en charge et de la liste des radiologues de votre département agréés dans le cadre du programme de prévention national. Choisissez un radiologue figurant dans cette liste et prenez rendez-vous. Le jour de la consultation, présentez le bon de prise en charge avec votre courrier d'invitation et votre carte Vitale. Vous n'aurez rien à payer. La sécurité sociale réglera directement le radiologue. Dans certaines situations, une échographie des seins est nécessaire pour compléter la mammographie, par exemple lorsque la densité des seins ne permet pas d'interpréter correctement la mammographie. Dans ce cas, l'échographie est prise en charge dans les conditions habituelles de remboursement et non pas à <span class="valeur">100 %</span>. Une femme ayant un risque élevé ou très élevé de cancer du sein peut bénéficier d'un suivi spécifique adapté à sa situation individuelle. Elle bénéficie d'une prise en charge à <span class="valeur">100 %</span> pour les examens recommandés dans sa situation.
À savoir les frais liés à une consultation unique de prévention du cancer du sein et du cancer du col de l'utérus, pour une assurée âgée de 25 ans, sont pris en charge à <span class="valeur">100 %</span>. Le dépistage organisé du cancer colorectal concerne tous les 2 ans les hommes et les femmes entre 50 et 74 ans. Si vous êtes dans cette tranche d'âge, vous recevez à votre domicile un courrier vous invitant : Le professionnel de santé s'assure que le mode d'emploi est compris. L'analyse du test est automatiquement prise en charge à <span class="valeur">100 %</span> par la sécurité sociale.
À savoir si vous avez un risque élevé ou très élevé de développer un cancer colorectal, votre médecin vous propose une autre modalité de dépistage. Le dépistage du cancer du col de l'utérus concerne les femmes de 25 à 65 ans. Ce dépistage est proposé tous les 3 ans aux femmes de 25 à 65 ans, qu'elles soient vaccinées contre les papillomavirus humains (HPV) ou non. Il peut être réalisé par un gynécologue, un médecin généraliste ou une sage-femme. Certains laboratoires d'analyse de biologie médicale le réalisent sur ordonnance de votre médecin. Les centres d'examens de santé peuvent le réaliser lors d'un bilan de santé. Cet examen (appelé <span class="expression">frottis cervical</span>) est pris en charge à <span class="valeur">100 %</span> par l'assurance maladie. La Haute autorité de santé recommande la vaccination pour les jeunes filles de 11 à 14 ans (avec <a href="https://ville-sottevast.fr/vie-pratique/services-publics-sur-sottevast/?xml=R49416">un rattrapage</a> jusqu'à 19 ans inclus). Le vaccin est remboursé à <span class="valeur">65 %</span> par la sécurité sociale sur prescription médicale. L'injection est remboursée à <span class="valeur">70 %</span> si elle est effectuée par un médecin lors d'une consultation, ou à <span class="valeur">60 %</span> si elle est effectuée par une infirmière, sur ordonnance du médecin. Le vaccin protège contre une grande partie des HPV à l'origine du cancer du col de l'utérus. Le spectre n'étant pas total, le dépistage par frottis est indispensable dès 25 ans.
À savoir les frais liés à une consultation unique de prévention du cancer du sein et du cancer du col de l'utérus, pour les assurées âgées de 25 ans, sont pris en charge à <span class="valeur">100 %</span>. L'hépatite B est une infection du foie provoquée par le virus VHB. Le dépistage du VHB permet d'identifier précocement les personnes atteintes d'hépatite B et de les prendre en charge et de vacciner les personnes exposées non immunisées. Le dépistage est recommandé si vous êtes dans l'une des situations suivantes : Le dépistage de l'hépatite B se fait au moyen d'une simple prise de sang, sur prescription médicale. Il n'est pas nécessaire d'être à jeun. Le dépistage peut également se faire au moyen d'un Trod. Le Trod est revêtu du marquage CE. Il est pratiqué sur sang avec tous ses constituants, sérum, plasma au moyen d'un réactif détectant l'infection. <span class="miseenevidence">Les personnes concernées par le Trod sont notamment les suivantes :</span> <span class="miseenevidence">En cas de test positif</span> : La personne concernée est systématiquement orientée, voire accompagnée si nécessaire, vers un professionnel ou une structure pour la réalisation d'un diagnostic biologique. <span class="miseenevidence">En cas de test négatif</span> : La personne testée est informée de la nécessité d'interpréter ce résultat avec prudence et de la possibilité de réaliser un diagnostic biologique, notamment en cas de risque récent de transmission. Dans un laboratoire d'analyses médicales public ou privé, sur ordonnance du médecin. Le dépistage peut également être fait de façon anonyme et gratuite dans un centre de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). Il peut aussi être fait dans un centre d'information, de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles (Ciddist) dont l'hépatite B fait partie. La liste des CDAG n'est pas diffusée. Vous pouvez consulter dans un centre de dépistage du Sida. Vous pouvez aussi vous rapprocher de Hépatites info service. Informations, accueil et orientation anonymes sur le sujet des hépatites. Le service peut orienter vers des intervenants juristes spécialisés ou de formation médicale pour un accompagnement et un suivi. Par téléphone Depuis la France : <span class="miseenevidence">0 800 845 800</span> (numéro vert : appel et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile) Depuis l'étranger : <span class="miseenevidence">00 33 1 41 83 42 78</span> (coût de l'appel à la charge de l'appelant) De 8h à 23h, 7 jours/7 Par messagerie Accès au <a href="https://www.hepatites-info-service.org/poser-une-question-par-mail" target="_blank">formulaire de contact</a> <span class="miseenevidence">Quels établissements ou structures pour réaliser le Trod ?</span> S'ils ont l'autorisation de pratiquer les Trod, vous pouvez vous rendre gratuitement dans l'un des établissements suivants :
À noter un professionnel de santé peut vous aider à vous orienter vers une de ces structures. Le dépistage de l'hépatite C chronique est établi grâce à une prise de sang. Il est recommandé pour certaines personnes. En cas de positivité, le suivi médical et la prévention de la transmission du virus VHC sont indispensables. Un Test d'Orientation Diagnostique Rapide ou TROD hépatite C est disponible pour un dépistage immédiat. <span class="miseenevidence">Vous devez vous faire dépister pour l'hépatite C si avant 1992 vous avez été dans l'une des situations suivantes :</span> <span class="miseenevidence">Vous devez également vous faire dépister pour le VHC si vous êtes dans l'une des situations suivantes :</span> Dans quelles structures ? Le dépistage est réalisable dans tous les laboratoires d'analyses médicales, publics ou privés sur prescription médicale. Le dépistage peut également être fait gratuitement dans un CeGIDD : Centre Gratuit d'Information, de Dépistage et de Diagnostic des virus de l'immunodéficience humaine (VIH), des hépatites et des infections sexuellement transmissibles. Informations, accueil et orientation anonymes sur le sujet des hépatites. Le service peut orienter vers des intervenants juristes spécialisés ou de formation médicale pour un accompagnement et un suivi. Par téléphone Depuis la France : <span class="miseenevidence">0 800 845 800</span> (numéro vert : appel et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile) Depuis l'étranger : <span class="miseenevidence">00 33 1 41 83 42 78</span> (coût de l'appel à la charge de l'appelant) De 8h à 23h, 7 jours/7 Par messagerie Accès au <a href="https://www.hepatites-info-service.org/poser-une-question-par-mail" target="_blank">formulaire de contact</a> En cas de test positif Un test positif signifie que la personne a été en contact avec le VHC. Il ne permet pas de savoir si le virus a été éliminé ou non de l'organisme. En cas de résultat positif, un contrôle de la sérologie par un nouveau test est demandé et, en cas de positivité de ce nouveau test, une recherche de l'ARN du VHC est nécessaire. Si les 2 tests sont positifs, cela signifie que le virus est toujours présent dans l'organisme. Dans quelles structures ? S'ils ont l'autorisation de pratiquer les Trod, vous pouvez vous rendre gratuitement dans l'un des établissements suivants :
À noter un professionnel de santé peut vous aider à vous orienter vers une de ces structures. Quel public prioritaire ? Les personnes qui peuvent bénéficier prioritairement du Trod sont notamment les suivantes : Résultat du test <span class="miseenevidence">Test négatif</span> La personne testée est informée de la nécessité d'interpréter ce résultat avec prudence et de la possibilité de réaliser un diagnostic biologique, notamment en cas de risque récent de transmission du virus. <span class="miseenevidence">Test positif</span> La personne concernée est systématiquement orientée, voire accompagnée si nécessaire, vers un médecin, un établissement de santé ou un service de santé en vue de la réalisation, par un laboratoire de biologie médicale, d'un diagnostic biologique. Elles sont dues à des bactéries, virus et parasites et transmises par voie sexuelle. Autrefois appelées maladies sexuellement transmissibles (MST), il en existe plus d'une trentaine. Les plus fréquentes sont les suivantes : Les IST se transmettent très facilement et il n'y a pas toujours de signes visibles. Le dépistage permet de savoir si on est infecté ou pas. Dès que le diagnostic est posé, des mesures pour éviter la transmission sont indispensables. Un traitement précoce est mis en place lorsqu'il est possible. Votre médecin généraliste ou votre gynécologue peuvent vous conseiller et vous prescrire un test de dépistage des IST. Selon les IST, différents types d'examens peuvent permettre le dépistage et le diagnostic : Le dépistage des IST est possible dans différents lieux : Les CeGIDD regroupent les centres de dépistage anonymes et gratuits (CDAG) et les centres d'information, de dépistage, de diagnostic des IST (CIDDIST). Le saturnisme est une intoxication par le plomb. Le plomb a des effets toxiques sur l'organisme, même à faible dose, surtout au niveau du système nerveux, de la moelle osseuse et des reins. La présence de plomb dans le corps est mesurée par le taux de plomb dans le sang (plombémie).
À savoir le saturnisme fait partie des maladies devant être signalées à l'Agence régionale de santé (ARS) par les médecins. Les femmes enceintes et les enfants sont particulièrement concernés par l'intoxication par le plomb. Le plomb est respiré, avalé ou transmis à travers le placenta chez une femme enceinte. Le plomb pénètre dans le corps par les voies respiratoires et digestives et a des effets nocifs particulièrement chez l'enfant. Il peut provoquer des troubles réversibles (anémie, troubles digestifs), mais aussi irréversibles (retard mental et/ou psychomoteur) lorsque le système nerveux est atteint. Le plomb est présent dans les logements construits avant 1949. Les peintures utilisées à l'époque contiennent du plomb. L'humidité favorise la dégradation de ces peintures et la propagation du plomb. Si vous présentez des facteurs de risque d'exposition au plomb, n'hésitez pas à en parler à votre médecin traitant, il vous proposera un dépistage par dosage de la plombémie. Ce dépistage est pris en charge à <span class="valeur">100 %</span> par la sécurité sociale pour les enfants (de 0 à 18 ans) et les femmes enceintes. L'ostéoporose est une maladie diffuse du squelette caractérisée par une diminution de la densité osseuse et des altérations de la micro-architecture des os. L'ostéodensitométrie est l'examen qui permet de mesurer la densité minérale osseuse. L'ostéodensitométrie est l'examen qui permet de mesurer la densité minérale osseuse. Cette mesure est effectuée sur deux parties du corps : le rachis et le col du fémur. L'os est exposé à une très faible quantité de rayons X, plus il est dense, plus il absorbe de rayons X. Cet examen est réalisé dans un cabinet de radiologie. L'ostéodensitométrie est prise en charge à <span class="valeur">70 %</span> (sur la base d'un tarif fixé à <span class="valeur">39,96 €</span>), sur ordonnance d'un médecin. Pour un 1<Exposant>er</Exposant> examen chez la femme ménopausée avec des facteurs de risque, tels que : Pour un 2<Exposant>e</Exposant> examen, dans les cas suivants :
À savoir si vous suivez un traitement hormonal substitutif (THS), la prévention de l'ostéoporose est déjà assurée par ce traitement. L'ostéodensitométrie est prise en charge à <span class="valeur">70 %</span> (sur la base d'un tarif fixé à <span class="valeur">39,96 €</span>), sur prescription médicale, pour les personnes présentant les facteurs de risques médicaux de l'ostéoporose, tels que : Le dépistage néonatal (à 3 jours) recherche <a href="https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/prises-en-charge-specialisees/maladies-rares/DNN" target="_blank">6 maladies chez les enfants</a> et vise également à <a href="https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/Depliant_surdite_enfants_2014__BD_BAT.pdf" target="_blank">dépister la surdité</a> permanente. Les maladies recherchées sont rares, mais elles peuvent être graves si elles ne sont pas prises en charge dès les premiers jours de vie de l'enfant. Ce dépistage est ouvert <span class="miseenevidence">gratuitement</span> pour tous les nouveaux-nés. L'accord des parents est demandé.
À savoir Le prélèvement est fait le plus souvent en maternité au plus tôt 48 heures après la naissance.
Code de la santé publique : articles L3121-1 à L3121-3
Infection par le virus de l'immunodéficience humaine
Code de la santé publique : articles D3121-21 à D3121-26
Consultations de dépistage anonyme et gratuit (VIH, hépatites et IST)
Arrêté du 29 septembre 2006 relatif aux programmes de dépistage des cancers
Code de la sécurité sociale : article R160-17
Prise en charge à 100 % dépistage spécifique du cancer du sein (6°)
Code de la santé publique : articles D3113-6 et D3113-7
Liste des maladies qui relèvent de la procédure de signalement (D3113-6)
Code de la sécurité sociale : article L162-13-2
Remboursement d'un examen de biologie médicale sans ordonnance (dépistage VIH)
Vaccinations contre l'hépatite
Social - Santé Logement
Site d'information sur le Sida
Sida Info Service
Dépistage gratuit du cancer du sein pour les femmes entre 50 et 74 ans
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Test de dépistage du cancer colorectal gratuit de 50 à 74 ans
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Prévention du cancer du col de l'utérus
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Cancer du col de l'utérus : vaccination et dépistage
Haute autorité de santé (HAS)
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Dépistage de l'intoxication au plomb (ou saturnisme)
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Ostéoporose : diagnostic et évolution
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Ostéodensitométrie (prévention de l'ostéoporose)
Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam)
Centres régionaux de coordination des dépistages des cancers (CRCDC)
Ministère chargé de la santé
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